Avant la première guerre mondiale, les armées ne tenaient que peu de registres sur les hommes qui composaient ses troupes. Il est en réalité impossible de savoir si un de nos ancêtres a pu participer à telle ou telle bataille. La seule chance est que l'un deux ait pu être officier, car en ce cas, ce dernier donnait son nom à sa troupe (au regard de ce que coutait la levée d'une troupe et son entretien, on leur pardonne bien volontiers cette vanité). C'est ainsi que j'ai trouvé trace de celui qui fut, si ce n'est mon ancêtre, au moins un parent.
En 1735, Monsieur Maubois enregistrait une compagnie de grenadiers dans les troupes de Monsieur de Préville, à Bourges.
A cette époque, les grenadiers faisaient plus partie des régiments régionaux, mais avaient tous été regroupés sous un même corps, les très illustres Grenadiers de France.
Je vous annonce donc que j'attaque la peinture d'une unité des grenadiers de Preville du bataillon de Ménou. Ce sera une unité de 10 grenadiers accompagnés par le capitaine. Ils porteront l'uniforme bleu à revers rouge. La plupart porteront le chapeau (tricorne) mais certains comme le capitaine porteront l'ourson (bonnet en poil d'ours).
çà claque! Hâte de voir tes grenadiers ancestraux en action sur la table !
ReplyDeleteOn a de la chance Roro que nos ancêtres ne se soient pas meulés la tronche. Cela aurait fait désordre dans le groupe.
ReplyDeleteoh tu sais, on va bien arriver à trouver quelqu'un qui a du sang anglois dans les veines...
ReplyDeleteil me manque un scalp dans ma déco...^^
Pas de sang nordique à ma connaissance...
ReplyDeletePas de sang anglais, ça c'est sûr. Par contre, "Tur", mon coco, c'est forcément prussien, et qu 'en pleine guerre de sept ans, les grenadiers de France ont du en bouffer.
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